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Indonésie

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  • Après vents et marées d'une année agitée, nous voilà repartis pour d'autres aventures ... Des paysages à découvrir, des sourires à s'émerveiller, des rêves à vous partager. Suite aux nombreuses demandes...voici le blog où vous pouvez nous suivre.
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26 juillet 2012

Et voilà, notre voyage se termine déjà ! Riche en

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Et voilà, notre voyage se termine déjà !

Riche en découvertes et en rencontres multiples, nous préparons nos bagages le sourire aux lèvres.

Toujours un pincement au coeur bien sûr car on ne retient que le meilleur; la diversité du monde est tellement belle et en fait toute sa richesse.

En tout premier nous retiendrons comme toujours notre amitié avec Wayan et Komang ainsi que les enfants. Tout empreint de délicatesse, de sincérité, de partage et d'échange culturel nous ne pouvions mieux rêver.

Ensuite Bali, magnifique et envoutante, où nous avons encore à découvrir parce que nous ne voulions plus quitter la maison et rester avec Wayan et Komang pour bavarder encore et encore devant la paix réconfortante des rizières dont nous sommes tombés amoureux.

Et, enfin, Lombok nous a permis de prendre du repos avant de reprendre le travail à la maison. Encore sauvage, espérons que les Sassaks auront la sagesse de la préserver.

Nous étions heureux de voir que Camille marchait sur nos pas en passant la plupart de son temps ( en dehors du bronzage) à vouloir comprendre la vie des autres et à s'y intéresser. Elle a ainsi découvert la religion musulmane grâce à Yayat serveur à l'hôtel.

Nous espérons vous avoir fait partager de bons moments grâce au blog et surtout vous avoir donné l'envie à votre tour de découvrir le monde et de le faire découvrir aux autres.

 

 

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24 juillet 2012

Sengiggi

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Nous sommes allés faire un tour à Sengiggi, cité balnéaire de ce côté de l'île. Une ville trop vite construite, beaucoup d'hôtels, peu intéressante. Nous avions à peine le pied hors du taxi que nous étions harcelés par des vendeurs de voyages organisés, de colliers, de tout et de rien. Bref, super casse-pieds. Nous y sommes restés une demi-heure et sommes rentrés.

Les prahus, toujours aussi jolis, utilisés par les pêcheurs et aussi pour conduire les touristes sur les îles Gili voisines.

On hésite encore à y aller, nous avons découvert au Brésil des plages magnifiques où le ne rencontre que soi-même pendant des kilomètres et j'ai un peu peur d'être déçue. Benoît a discuté avec des australiens qui vont sur une autre île, plus au sud. Quand ils reviendront de leur journée, ils nous diront si ça vaut la peine de faire le déplacement. Principalement pour le snorkeling car l'eau est translucide.

Suite à notre visite éclair de Sengiggi, nous avons décidé de louer un scooter pour longer la côte et découvrir à notre aise les paysages.

C'est très agréable car la route n'est pas très fréquentée, les constructions ressemblent à celles de Bali. Il doit s'agir de maisons familiales, les femmes sont ensembles avec les enfants, habillées parfois d'un sarong ou de vêtements longs, même les pieds sont couverts. Il est plus de 15 heures et tout le monde dort couché à même le sol. Ils ne semblent pas le moins du monde perturbés par la circulation. Nous sommes au début du Ramadan.

Le long de la route, la pollution refait son apparition, une femme vient jeter ses déchets en face de sa maison, quel gâchis...

Les chèvres, les poules, quelques vaches se promènent sur le bas-côté sans la moindre surveillance. Le klaxon du scooter ne semble pas les inquiéter.

Nous croisons à notre grande surprise des singes, une grande majorité de l'île est encore couverte par la forêt tropicale naturelle et des jungles.

 

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 Je suis à la recherche d'ikat :

L’ikat est un procédé de teinture et de tissage dans lequel le dessin est créé en teignant d'abord le fil de trame, ou le fil de chaîne, de toutes les couleurs qui vont y figurer, à des intervalles très précis, de sorte qu'au moment du tissage les éléments du dessin se créent par la juxtaposition des parties du fil de la couleur appropriée (par exemple, cinq ou six points jaunes de deux millimètres, à un mètre de distance l'un de l'autre sur la longueur du fil, viennent l'un au-dessus de l'autre au moment du tissage pour former l'œil d'un oiseau, et ainsi de suite pour chaque élément du dessin). En teignant le fil, les parties qu'on veut préserver d'une certaine couleur de teinture sont cachées par un fil qu'on noue sur le fil de la trame. On plonge ensuite le fil dans la teinture. On recommence pour les autres teintes. Par extension, le mot désigne également le tissu qui en résulte.

Evidemment, sur le marché de Sengiggi, aucun vrai Icat, juste du made in Jakarta !

Women weaving on traditional looms in workshop producing traditional Ikat and Songket woven fabrics.

 

File:Tenun Ikat Lombok Traditional Sasak Village Sade.JPG

Pour en trouver, il y a deux possibilités; Pringgasela ou Sukarra .Les tisserands travaillent à l'extérieur de nombreux magasins, en utilisant les métiers à courroie archaïques (attachés dans le dos) pour produire minutieusement des œuvres d'art. Certains des gros morceaux peuvent prendre plusieurs mois à tisser et les collectionneurs du monde entier visitent ce village pour acheter des couvertures, des sarongs et des tissus produits ici.

Reste à convaincre Benoît qui rêve de faire du snorkeling et Camille qui veut bronzer au bord de la piscine !

 

 

23 juillet 2012

Les fourmis du petit matin

Ceux qui me connaissent savent que je suis "du matin". J'aime me lever de bonne heure pour goûter au lever du soleil, au silence et à l'éveil de la nature qui m'entoure. C'est un moment divin où le monde semble vous appartenir.

Ici, les matins sont plus agités. Tout d'abord, par le fracas des vagues à la marée montante. Elles sont vraiment impressionnantes, d'une force incroyable, elles vous donnent l'impression de vous engloutir.

Ensuite commence le balai incessant des petites fourmis du travail que sont les jardiniers. Tout doit être impeccable pour le réveil des touristes, les feuilles sont ramassées, le gazon et les plantes arrosés, les graviers ratissés, les terrasses et allées nettoyées,... Un va-et-vient continu où pendant plus d'une heure ce petit monde invisible aux yeux de la plupart va s'affairer à rendre les lieux plus que parfaits. Je suis comme d'habitude bercée entre deux sentiments; d'une part, l'admiration car où que mes yeux se posent rien ne dénote jusqu'aux motifs dessinés dans les graviers. Cette perfection est très reposante d'une certaine manière. D'un autre côté tout cela manque de vie, comme si on voulait figer la vie dans une photo parfaite. C'est assez troublant. Je crois que tout un chacun rêve de ces endroits paradisiaques dignes de figurer dans les plus beaux magazines et pourtant...

 

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Le bodyguard qui ne garde rien du tout mais qui est tout de même impressionnant !

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L'arroseur arrosé qui m'a bien fait rire ce matin.

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22 juillet 2012

Il faut bien dire que c'est quand même le pied !

Il faut bien dire que c'est quand même le pied !

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Ce matin, on demande un yaourt aux fruits pensant avoir un simple yaourt...et puis voilà ce qu'on nous apporte ! Je ne vous dis pas le reste .

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22 juillet 2012

Et voici Lombok

Pour rejoindre Lombok, nous avions le choix entre le ferry (4h) ou le bâteau rapide (2H). Le bâteau rapide, nous avait-on dit est très rapide et comme parfois la mer est très agitée, je n'osais pas trop m'y aventurer.

Il faut dire qu'avec le souvenir du bâteau en panne à Salvador au Brésil...

Donc nous voilà embarqués avec nos lourds bagages pour le ferry après avoir pris le bus en partant d'Ubud sur une route plus que cahotique car ici, la circulation et l'état des routes est déplorable. Nous nous plaignons de nos "nids de poule" en Belgique mais quand on a connu les routes Balinaise, on ne se plaint plus !

Le ferry est essentiellement pris par les locaux, très peu de touristes sauf quelques jeunes car le ferry est forcément moins coûteux que le bateau rapide.

C'est amusant car, les locaux s'installent, couchés sur les banquettes faites pour s'asseoir, sans complexe, le fair-play n'a pas l'air de rigueur, ici.

Nous essayons donc de trouver une place tant bien que mal.

Nous ne retrouvons plus les couleurs chatoyantes des sarongs, les femmes sont voilées, Lombok, si proche,est à majorité musulmane. Les hommes "mangent" des yeux les blanches européennes. Je me sens "mal à l'aise", j'ai un peu l'impression d'être un steack au milieu d'un étal de boucher !

La traversée est longue, nous nous sentons observés de toutes parts, la mer est très agitée par moments.

Le sourire revient lorsque nous apercevons les côtes de Lombok. Ce que l'on observe en premier, c'est que l'île est nettement moins habitée que sa voisine, ce qui nous semble un bon présage car Bali est saturée par le tourisme et la pollution. C'est assez choquant  de voir la quantité de déchets qui jonchent le sol, principalement bouteilles et sacs en plastiques, le tri des déchets ne semble pas encore d'application.

Les femmes se lavent, lavent leurs enfants et le linge dans la rivière où en amont les déchets envahissent les lieux.

Pour les hydrocarbures, c'est un peu le même problème. La circulation est dense et engorgée. L'air sur les routes est irrespirable.

Arrivés au port, nous prenons un bus qui nous conduit jusqu'à l'hôtel. Ca nous fait bien rire car il est encore plus vieux que le précédent et lorsqu'il s'arrête nous nous demandons s'il redémarrera un jour.

Beaucoup de nouvelles constructions, depuis la construction toute récente de l'aéroport, nous devinons aisément que le tourisme de masse va y faire son apparition dans les années à venir.

Les hôtels de luxe sont évidemment bien situés le long de la plage.

Lorsque nous arrivons, tout est luxe, calme et volupté.

La mer est magnifique, la plage est superbe et propre, des coins repos confortables et isolés pour le calme de chacun, une chambre avec terrasse et vue sur mer...que demander de plus, nous sommes au paradis.

Et pourtant, les petits vendeurs sur la plage nous rappellent la précarité  de leur vie et mes yeux ne peuvent s'empêcher de se tourner vers l'autre côté de la plage où les enfants d'ici jouent dans les vagues...

 

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20 juillet 2012

On ne se refait pas ...

Oui je sais...sans commentaire !

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18 juillet 2012

On tourne en rond...

Nous voilà le coeur à l'envers. Tournant en rond, nous sommes allés à Ubud cet après-midi parmi les Bulé (se prononce "Boulet"; ça ne s'invente pas, c'est le surnom donné aux touristes par les Balinais !).

Nous repérons rapidement les nouveaux Bulé, appareil photo en main, un peu ou tout à fait perdus, les joues rougies et le corps transpirant sous la moiteur de la chaleur soudaine après la pluie, ils errent d'échoppe en échoppe dans les rues commerçantes, s'extasiant devant les sarongs colorés "made in Jakarta", marchant d'un pas peu assuré sur les trottoirs endommagés.

Je souris en repensant à nos débuts à Ubud, où nous aussi étions de parfaits petits Bulé, ne sachant pas que le marchandage est de mise ici et que ces échoppes ne sont que de parfaites boutiques pour Bulé de tous horizons.

Nous sommes retournés au Lotus café, un endroit où nous sommes allés le premier jour, et nous regardons avec tendresse et émotion ce lieu de nos premiers pas à Ubud. Les nénuphars sont toujours aussi beaux, mais nous les gardons pour nous, et non, imprimés sur notre appareil photo.

Le besoin se fait sentir de retourner à la maison, loin de l'agitation d'Ubud.

Wayan attend Camille et l'invite pour faire un tour dans le village.

Nous restons à contempler les rizières ... inlassablement. La musique de la cérémonie du soir, au loin, mêlée au chant des insectes, nous baigne dans un doux bien être.

Encore deux jours...

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18 juillet 2012

Le bonheur n'est parfait que s'il est partagé.

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Aujourd'hui, il pleut...Et dans nos coeurs et nos yeux, il pleut aussi car samedi on prend le départ pour Lombok.

 

 

 

18 juillet 2012

A table !

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Pudding de riz noir

Ingrédients:

1 tasse de riz gluant noir

1 tasse de riz gluant

2 feuilles de pandanus (facultatif)

5 verres d'eau

1/2 verre de sucre de palme

1 verre de crème de coco

Préparation:

Rincer plusieurs fois les deux riz jusqu'à ce l'eau soit claire.

Faire tremper le riz dans de l'eau toute la nuit

Cuire le riz à la vapeur avec les feuilles de pandanus durant 45 min.

Ajouter le sucre de palme et continuer à cuire jusqu'à ce que le liquide s'évapore.

Assaisoner avec une pincée de sel et laisser refroidir.

A servir à température ambiante et verser par-dessus avec la crème de coco.

 

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Préparation : 10 min
Cuisson : 25 min

 

Ingrédients (pour 25 crêpes) :
- 200 g de farine de riz (on peut utiliser de la farine de blé à défaut)
- 60 g de sucre en poudre
- 1 pincée de sel
- 4 oeufs
- 60 cl de lait de coco
- quelques gouttes d'essence de pandan
- huile pour la cuisson

Pour la garniture :
- 20 cl de sirop de sucre de palme (préparé avec 175 g de sucre de palme en poudre (ou de sucre en poudre normal, à défaut) et 15 cl d'eau).
A défaut, on peut utiliser du sirop de sucre liquide.
- 125 g de noix de coco râpée
- quelques gouttes d'essence de pandan

Préparation :

Préparez d'abord le sirop de sucre de palme, en portant à ébullition le sucre de palme avec l'eau, puis en laissant mijoter à feu plus doux pendant 5 minutes.

Pendant que le sirop refroidit, préparez la pâte à crêpes en mélangeant tous les ingrédients jusqu'à former une pâte homogène (si vous voulez une allure "pandan" un peu plus marqué, rajoutez une goutte ou deux de colorant vert).

Préparez les crêpes dans une petite poêle (format pancake) et laissez-les refroidir.

Ajoutez la noix de coco râpée au sirop de sucre et chauffez à feux doux cinq minutes, puis ajoutez l'essence de pandan et mélangez bien.

Garnissez chaque crêpe en plaçant un rectangle de préparation dedans, en rabattant un côté, puis l'autre, puis chacun des petits côté de manière à former une sorte de cigare.

 

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17 juillet 2012

Un matin...

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"L'aube interrompt souvent les rêves les plus beaux qu'on fait à son sujet." Stanislaw Jerzy Lec

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Petite voleuse d'offrande !

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